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EVARS et Recommandations OMS : Vos Enfants de 3 Ans Apprennent la Masturbation ? La Réalité Choquante !

  • Photo du rédacteur: Edwin
    Edwin
  • 20 juil.
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : il y a 4 heures


Imaginez : votre tout-petit de 3 ans rentre de la maternelle et vous parle de "plaisir corporel" ou de "nudité curieuse". Fiction ? Non, c'est la réalité d'EVARS, imposé dès la rentrée 2025 en France, inspiré des standards de l'OMS. Présenté comme une "protection" innocente, ce programme introduit des thèmes sexuels explicites dès la naissance. Préparez-vous à être choqué : voici les faits crus, avec citations directes des documents officiels. Parents, ceci n'est pas une alerte fictive – c'est une urgence !



OMS : Masturbation et Nudité Dès 0 An – Oui, Vous Avez Bien Lu !


Les standards de l'OMS (2010, fr. 2013) préconisent une éducation sexuelle dès la naissance, avec des détails glaçants pour les 0-4 ans : "le plaisir et la satisfaction liés au toucher de son propre corps, la masturbation enfantine précoce" (p. 38). Pensez-y : des bébés de 2 ans encouragés à explorer leurs "parties génitales" ! Et ce n'est pas tout : "la découverte de son propre corps et de ses parties génitales" (p. 38), ou encore "le droit d’explorer la nudité et le corps, d’être curieux" (p. 39).

Ces phrases, extraites du PDF officiel, normalisent ce qui ressemble à une initiation sexuelle forcée. L'OMS, souvent invoquée comme "autorité infaillible", est-elle vraiment légitime ? Avec ses liens controversés à des études comme celles de Kinsey (accusées de pédophilie), et ses échecs passés (COVID), cette organisation non élue dicte-t-elle vraiment ce qui est "bon" pour nos enfants ? C'est terrifiant – et c'est la base d'EVARS.




EVARS en France : Genre Fluide et Plaisir Génital Dès la Maternelle – Choc Garanti !


Le PDF EVARS (février 2025) applique cela en France. Dès 3-5 ans : "connaître son corps et comprendre ce qu’est l’intimité" (p. 11), et "apprendre à exprimer son accord ou son refus" (p. 11). À 4 ans : "découvrir les différentes structures familiales" (p. 13) – y compris LGBTQ+, sans filtre.

Au collège : "Différencier sexe, genre et orientation sexuelle" (p. 27). Au lycée : "prendre conscience que l’identité de genre peut ne pas correspondre au sexe biologique" (p. 35), et – préparez-vous – "comprendre que les appareils génitaux mâles et femelles sont comparables (le clitoris et le pénis sont composés de tissu érectile générateur de plaisir)" (p. 35). En terminale : "Différencier excitation, sentiment, désir et plaisir" (p. 39).

Ces mots crus du document officiel : est-ce de l'éducation ou une endoctrination ? Imaginez un ado de 15 ans disséquant le "plaisir" en classe – choquant, non ?




Les Livres en Classe : Nudité Collective et Zizi Qui Grossit – Dès 3 Ans !

Pour EVARS, des albums illustrés servent de supports. Parmi les horreurs :

  • Tous à poil ! (dès 3 ans) : Adultes et enfants nus : "À poil le bébé ! À poil la boulangère ! À poil le policier !" – nudité banalisée, anti-autorité pure.

  • Zizis et Zézettes (dès 3 ans) : "Pourquoi mon zizi grossit quand je joue avec ?" – masturbation implicite pour enfants.

  • Ma sexualité de 0 à 6 ans (dès 0 an) : "La sexualité n’est pas innée, c’est quelque chose qui s’apprend" – curiosité sexuelle dès 2 ans, comme si c'était normal.

Ces extraits, tirés de livres recommandés par le Planning Familial, traumatisent sous couvert d'"éducation". Vos enfants méritent-ils ça ?


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Conclusion : Mettez la Pression Localement pour Protéger Vos Enfants !


EVARS, boosté par l'OMS, n'est pas une "sensibilisation" : c'est une attaque frontale sur l'innocence, avec plaisir génital et genre fluide imposés trop tôt. Remettez en question ces organisations : l'OMS n'est pas un dieu infaillible, avec ses scandales et influences cachées. Parents, mettez la pression localement : contactez vos écoles, associations de parents d'élèves, et exigez que ces thèmes ne soient pas abordés dans la classe de vos enfants. Refusez les interventions externes, demandez des dispenses, et mobilisez-vous au niveau de l'établissement pour bloquer les dérives.

Sources :

 
 
 

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